1974, New-York, USA. La jeunesse occidentale hésite encore encore rock psychédélique en pleine (mauvaise) descente et la disco à paillettes qui s’apprête à tout renverser sur son passage. Ne choisissant ni l’un ni l’autre, quatre jeunes branleurs, fans des New Yorks Dolls et des Stooges d’Iggy Pop, décident de devenir le meilleur groupe de rock du monde.

Malgré un niveau technique plus que discutable et un amour immodéré pour la défonce, mais avec un sens de la mélodie qui fait mouche tout droit hérité des 60s, un look qui va vite devenir l’archétype rock’n’roll partout sur la planète et une vitesse d’exécution qui va inventer le punk à elle toute seule, The Ramones vont gagner leur pari haut la main. Mais ils y laisseront aussi quelques plumes… C’est cette extraordinaire odyssée que racontent Bruno Cadène et Xavier Bétaucourt sur des dessins d’Éric Cartier dans la BD « One, two, three, four, Ramones » parue en 2017 chez Futuropolis. C’est notre #T’AsLu? de ce dimanche, et ça devrait être remboursé par la sécurité sociale !!

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