Le Chabada présente
3 artistes émergent·es de la scène angevine dont 2 faisant partie de l’Équipe Espoir Chabada
au MaMA Convention à Paris
le mercredi 16 octobre à la Boule Noire* :
Invitation valable uniquement pour les détenteur·rices d’une accréditation pro MaMA
* La Boule Noire – 120 Blvd Marguerite de Rochechouart, 75018 Paris
Oda.
Anna Bozovic et Théo Noël-Apperry se sont rencontré·es sur les bancs du lycée, il y a plus de 10 ans. Après un parcours sur scène dans le théâtre en tant que comédienne pour Anna et dans la musique en tant que batteur pour Théo, il et elle forment oda. en juin 2022. Dans une folk indie et moderne, avec des arrangements parfois pop, le duo nous transporte dans un univers sensible alliant des mélodies acoustiques à des nappes synthétiques, mêlant anglais, français et serbe. Repéré·es et accompagné·es par Le Chabada (SMAC Angers) depuis janvier 2023, leur premier single “Great Fortune” est sorti le 23 juin 2023 sur toutes les plateformes, et a rejoint la playlist officielle de FIP en septembre. Le 15 décembre 2023 le duo a sorti son 2ème single “IDK” avec un clip réalisé par la dessinatrice américaine Sabrina Nichols (The Smile, Yo La Tengo, Kenny Beats, etc.). Le premier EP d’oda. est prévu pour le 27 septembre prochain.
Alright Mela
Alright Mela est une expression qui signifie « Tout va bien ! » à Malte, un pays à la culture métissée arabo-européenne, expression qui synthétise bien la musique du trio formé par les angevins Markus et Cheb Xavi et le chanteur marocain Jaouad El Garouge. Et, comme un mantra, ce nom exprime l’espoir d’un monde meilleur. Autour de textes forts sur des thématiques contemporaines, leur musique invite à la réflexion mais également à la transe. Ancrés par des beats électroniques envoûtants et des synthés oldies hallucinés, le oud et le guembri sonnent la révolte pour que les chansons d’Alright Mela donnent une irrésistible envie de danser le poing levé. Un pari militant pour un groove pour tous !
Chahu
Chahu décrit sa musique comme étant « un doux mélange entre la psytrance et le tango, chansons qui parlent de quand ça va bifbof. » Pour saisir le trait d’humour, il suffit d’écouter. Des chansons pop en contraste, entre profondeur des mots et mélodies entrainantes. Chahu compose d’abord au ukulele (clin d’oeil à la kora que lui présentait Toumani Diabaté), puis l’intègre à des productions plus électroniques, explore, quitte à s’en séparer. Pour les mots, ce sont ses maux. De la fuite en avant, des départs, des débuts, ce que ça fait en-dedans.