Gratuit / entrée libre
Musique industrielle et expérimentale
Palo Alto avec Richard Pinhas et Alain Damasio

Richard Pinhas Alain Damasio

mer 09 novembre 2022 19h
Le Chabada
Si vous aimez : The Residents, Bill Laswell

Organisé par ESAD-TALM et Le Chabada

Ce concert est organisé dans le cadre du Symposium International « La pensée active de Gilles Deleuze » qui se déroulera à l’école des Beaux-Arts (ESAD talm Angers) les 8, 9 et 10 novembre 2022. Retrouvez toutes les infos sur le site du colloque.

 

Palo Alto est un groupe de musique expérimentale français, originaire de Paris. Il est formé au cours de l’année 1989 par Jacques Barbéri, Denis Frajerman, Philippe Masson et Philippe Perreaudin. Dans ses premières interviews, le groupe revendique une filiation musicale avec Tuxedomoon, et plus largement avec la collection Made to Measure (Crammed Discs). Par la suite, il ne cachera pas son intérêt pour des formations comme Art Zoyd, The Legendary Pink Dots, Coil, The Residents, Can ou Cabaret Voltaire. La science-fiction sous toutes ses formes (littérature, cinéma, illustration…) est une référence récurrente dans l’œuvre du groupe.

Richard Pinhas

Richard Pinhas a enregistré sept albums influents en tant que leader des Heldon, pionniers français du space-rock dans les années 1970, puis cinq autres disques solo avant sa pause musicale en 1982. Depuis son retour dans le son, dans les années 1990, il a été prolifique, collaborant avec des « luminaires » tels que Merzbow, Yoshida Tatsuya, Oren Ambarchi, Barry Cleveland et Wolf Eyes.
Il a été élève de Gilles Deleuze et lui a dédié un site web

Alain Damasio

Auteur des fameux La Zone du dehors (1999), La Horde du contrevent (2004) et Les Furtifs (2019), Alain Damasio se définit d’abord comme un auteur des imaginaires. Devenu le porte-parole des anti-smartphone et anti-réseaux sociaux, il est surtout un amateur de la pensée de Deleuze et diffuse admirablement, dans ses romans ou interventions orales et/ou entretiens dans la presse, une critique de la société de contrôle qu’il nomme « techno-cocon ».