Au début du concert, on entend sa voix avant de le voir sur scène. Et là, surprise : Gaëtan arrive dans mon dos au milieu de la salle et passe à côté de moi, s’arrête un mètre plus loin et continue à faire un discours d’introduction de concert. Je me rappelle d’une des premières questions qu’il a posées : Que faut-il pour réussir un concert ? Le public.

Je crois que ce qui m’a le plus marqué c’était la carte blanche à Kwal en 2004. Style que je n’écoutais pas (plutôt tendance punk, ska, rock), j’y vais sans trop savoir… et là… grosse claque. bravo l’artiste.

Sans conteste, les multiples concerts de La Ruda (recordmen de concerts au Chabada !) sont les meilleurs souvenirs de cette place incontournable de la musique Angevine.
On espère pouvoir profiter de leur reformation pour célébrer ces 30 ans !!

Hello Le Chabada, comment résumé toutes les soirées que j’ai passé chez vous…
Un concert mémorable, celui des Bellrays, grande classe également et le lendemain, qui je croise à Carrefour St Serge dans le rayon informatique, et bien Lisa Kekaula et Bob Venum, grande suprise, je me suis dit autant les remercier du concert de la veille au Chabada. C’était pour l’album Have a Little Faith en 2006. Album sorti évidemment chez Vicious Circle.

Je ne suis pas objectif parce que ce sont des amis mais je retiens particulièrement la soirée ciné-concert de Zenzile.

Ma fille m’a invité à découvrir LAST TRAIN en 2019 et ce fut un concert magique !
Comme quoi, au Chabada, le partage intergénérationnel fonctionne!
Merci Marion J. pour cette soirée

Octobre 2019 , mon premier concert à 17 ans …. Le groupe punk Ludwig von 88 !!!! Sacré concert, sacré ambiance dans cette salle …..quel souvenir de dingue !!!!

Je me souviens que Martinez (programmateur du Chabada) avait proposé à VedeTT de faire la première partie de Pony Pony Run Run, alors qu’on n’avait pas encore fait grand-chose. Et on s’est retrouvés deux jours à Tostaky, avec Achaiss (ancien régisseur des studios Tostaky, aujourd’hui sonorisateur de Thylacine) qui nous a sauvé la mise en retravaillant toutes nos instrus pour le live, parce qu’on était complètement à la rue.

Un des premiers et des meilleurs concerts de ma vie : Le Saïan Supa Crew qui a retourné et renversé la salle du Chabada en 2001 !

C’était mon premier concert à Angers, en 2011, premier concert au Chabada. C’était Ayo, je l’écoutais depuis plusieurs années…et c’était magique. Elle est descendue dans la fosse et elle a dansé avec nous, avec moi… c’était une très belle rencontre, une très belle expérience, un moment suspendu dans les notes d’un soul solaire… c’était au Chabada et depuis, les concerts se suivent et les beaux souvenirs restent gravés dans ma mémoire.

Le concert des Naive New Beaters en septembre 2013, une soirée mémorable. Les NNBs ont cette magie de transformer une scène en véritable folie ! Le petit passage du groupe après le concert au bar du chab’ pour papoter tranquille avec les fans encore présent était un pure moment ! J’ai adoré rigoler et trinquer avec « David Boring » en toute simplicité, c’est la magie du Chab’ cette proximité avec le public.

Je me souviens d’un concert où VANESSA PARADIS était programmée et surprise elle était accompagnée par le guitariste M, très belle surprise.

J’étais heureux de l’ouverture du Chabada, même si à l’époque je ne comprenais pas ce nom, trop jazzy pour moi. Le soir de l’inauguration, à 18 ans et en mentant à mes parents, je suis allé voir les copains jouer ainsi que Treponem Pal, Deus et tant d’autres et surtout découvrir ce nouveau lieu. L’année d’après, j’ai eu l’opportunité de devenir un des photographes de la salle, sous la bienveillance de Hugues Dagnet qui m’apprit l’essentiel de la photographie de concert.

On se quitte sur des sourires et des embrassades chaleureuses, en se disant qu’on se retrouvera vite au Chab’, que les mesures [Covid-19] seront de courte durée. Aujourd’hui ce souvenir semble lointain, comme perdu dans l’espace temps, et proche à la fois. C’était le 12 mars 2020.
Extrait de l’article que j’avais rédigé : https://lechabada.com/actualite/le-dernier-concert-avant-le-confinement/
Dernier concert avant le confinement au Chabada.

Indéniablement, j’ai été marqué à vie par le concert mémorable de Charles Bradley, légende aujourd’hui disparue de la soul, qui en 2013, à 65 ans, avait donné un concert renversant de don de soi, guidé par l’amour, le groove et dont débordait une sensualité rare.

J’étais venu écouter Izia mais j’ai été un peu déçu de la performance et au contraire embarqué par la première partie Gush.

Martinez a été la première personne à nous programmer en SMAC en dehors de notre région. Nous avons joué en première partie des Plasticines en 2009, un souvenir particulier pour le jeune groupe que nous étions. Nous sommes revenus cette fois-ci en 2012 en tête d’affiche dans le club pour notre premier album et en 2018 pour le second. Le Chabada a joué un rôle majeur dans la vie de Concrete Knives !

Parmi tant d’autres, mon concert mémorable restera celui de Roy Ayers le 8 avril 2011, complété par le dj set de Fonkadelica. Cette soirée a une saveur particulière car elle s’est terminée par un coup de foudre pour le père de mon fils, qui a déjà quelques concerts Chab’ à son actif !

J’ai souvenir d’une panne de courant pendant le concert de John Butler Trio. Il était venu au milieu du public pour chanter en acoustique.

Ils devaient être pas loin d’une dizaine sur la scène du club, donc ça faisait du monde au mètre carré et c’était vraiment impressionnant. Je les avais vus avant aux Transmusicales, ils étaient sur la scène du Liberté qui est une très très grande salle. Là ils avaient de la place mais dans le club c’était beaucoup plus puissant parce que peu distant du public avec un enthousiasme de jouer qui était vraiment présent.

C’est le premier concert de Thylacine auquel j’assistais en mars 2020. Je l’ai découvert en travaillant ici à la ville d’Angers. Il avait un rapport avec le public et une très forte proximité. A ce moment-là, je ne savais pas que ce serait mon dernier concert en fosse, sans masque, avec une bière,  sous des conditions normales.

Si je devais retenir deux concerts…
2016, Monophonics, un moment extra-ordinaire
1996, Noir Désir, également dans le club.
Merci.

Le 16 décembre 1994, à ma grande surprise Rory Gallagher se produisait au Chabada !
Etant un grand Fan de ce guitariste Irlandais connu dans le monde entier, il n’était pas question de rater cette « rencontre » …
Un grand souvenir , d’autant qu’il décèdera quelques mois après.

Sans hésitation dans le top five de mes moments chabadadesques, je mets en tête le concert de David Lemaitre en Janvier 2014…
Il incarne, tout comme le Chabada, la générosité, la mixité culturelle, le talent, le monde tant par ses origines que par sa musique … j’ai adoré, je mets en boucle son album Megalomania … merci à vous de l’avoir accueilli dans cette salle si intime et de nous l’avoir présenté…

Elevé dans le sud des Etats-Unis, James Leg oscille entre blues crasseux et morceaux plus agités. Généreux dans son énergie, le son qu’il dégage de son Fender Rhodes (piano électrique en vogue depuis les années 70) est frénétique et possédé. Les fondamentaux sont là et le personnage des plus authentique est plaisant à écouter. Prédestiné sans doute à devenir une légende, il n’hésitera pas à martyriser son instrument et de sa voix à couper au couteau, il nous invitera sur les longues et sinueuses routes de l’Amérique. On ne pouvait rêver d’un meilleur compagnon de route. Le Chabada est envoûté ce soir-là par ce fils de pasteur, et malgré le clap de fin, l’assistance en redemande. Au final, une performance hors des standards habituels et une musique qui m’a donné envie de tout plaquer pour faire du whisky de contrebande en Louisiane.

Pour ma part, j’ai vu EZEKIEL en 2003, un jeudi soir la veille de mon examen ….
J’aime me dire que c’est grâce à ce moment hors du temps que je l’ai réussi haut la mains