30 ans. 30 heures. Le calcul est simple !
Pour son week-end d’anniversaire, le Chabada ouvrira donc ses portes durant 30 heures sans interruption.
30 heures de musique de toutes esthétiques, et surtout 30 heures de groupes angevins !
Certains déjà (très) connus, et d’autres qui le seront bientôt.
Nous avons en effet toujours eu la chance d’avoir à Angers une scène musicale foisonnante, riche et prolifique. Nous voulions donc la mettre à l’honneur en proposant une programmation exclusivement angevine : des groupes, des DJs, des invité·es, et pas mal de surprises…
On se retrouve à partir du vendredi 27 sept à 19h, et jusqu’au dimanche 29 sept à 2h du matin !
Au Chabada, on vous explique depuis 30 ans que nous avons à Angers l’une des meilleures scènes musicales de Franc… du monde ! Alors, nous avons décidé de joindre le geste à la parole en vous proposant une programmation exclusivement angevine pour le week-end de notre trentième anniversaire. D’aucuns diront que c’est un pari ambitieux, d’autres pour le moins risqué ; pour nous, il s’agit tout simplement d’un choix logique. En 2023, la scène locale occupait 42% de la programmation régulière du Chabada. Autant vous dire que la scène locale fait partie de l’ADN de la salle.
La vraie difficulté, c’était surtout de trouver assez de place pour tous·tes celles et ceux qu’on avait envie de faire jouer. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle on a demandé à tous·tes les artistes programmé·es d’en inviter un·e autre pour une collaboration inédite juste pour vous (et nous). C’est donc au total une centaine d’artistes et d’acteur·rices de la scène locale qui va s’emparer du Chabada ce week-end*.
Et comme ce défi ne nous en semblait finalement pas vraiment un, on s’en est collé un autre juste pour le plaisir : 30 ans > 30 heures de musique non-stop. Oui, on sait, on est complètement givré·e. Mais on commencera donc les concerts le vendredi 27 septembre à 20h00, pour fermer nos portes le dimanche 29 septembre à 2h00 du matin. Et entretemps, pendant 30 heures vous entendrez sans interruption de la musique de toutes esthétiques (pop, rock, rap, electro, chanson, folk, punk, soul, reggae, world music…) et sous toutes ses formes (concerts, DJ sets, jeux musicaux, sieste musicale, etc.). Il va sans dire qu’on vous attend avec impatience !
*À vrai dire, ça ne laissait toujours pas assez de place, on a donc programmé d’autres artistes chez nos ami·es et partenaires en ville et alentours quelques jours avant et après. Surveillez l’Agenda sur le site !
Carte Chabada 15€ // Prévente 20€ // Guichet 22€
Gratuit pour les – de 12 ans (places limitées – réservation obligatoire)
PASS 30 HEURES : Carte Chabada 35€ // Prévente 40€ // Guichet 42€
Restauration sur place (foodtrucks Acquolina & Tiffin Box)
Carte Chabada 15€ // Prévente 20€ // Guichet 22€
PASS 30 HEURES : Carte Chabada 35€ // Prévente 40€ // Guichet 42€
Âge minimum pour accéder à l’événement : 18 ans
Gratuit, entrée libre
Restauration sur place (foodtrucks Acquolina & Tiffin Box) : 11h-14h
Aux Studios Tostaky
COMPLET
Tarif Unique 7€
PASS 30 HEURES* : Carte Chabada 35€ // Prévente 40€ // Guichet 42€
* places limitées pour les Pass – réservation obligatoire sur la billetterie de l’évènement
Carte Chabada 20€ // Prévente 25€ // Guichet 27€
Gratuit pour les – de 12 ans (places limitées – réservation obligatoire)
PASS 30 HEURES : Carte Chabada 35€ // Prévente 40€ // Guichet 42€
Restauration sur place (foodtrucks Acquolina & Tiffin Box)
Qui pour ouvrir le bal de ces 30 heures non-stop ? Imaginé au départ comme une récréation electropop et en solo de l’infatigable chanteuse/multi-instrumentiste Élisabeth Hérault, DA Pontcé a rapidement muté sous la forme d’un trio avec l’arrivée d’Alain « Boochon » Lardeux (multi-instrumentiste lui-aussi, avec lequel Babette joue déjà dans Des Lions Pour Des Lions) et du batteur Antoine David (qui officie chez les copains de The Loire Valley Calypsos). Sur scène, leurs pop-songs dadaïstes se musclent davantage et visent clairement les jambes des danseurs et des danseuses. Et vous pouvez faire confiance à leur longue expérience du métier -outre leurs autres groupes, chaque membre du trio a déjà été permanent·e ou invité·e chez Dirty Hands, Les Thugs, Lo’Jo, Zenzile, Cherry Plum, etc.)- pour téléporter la foule sur une piste de danse kaléidoscopique en plein milieu des étoiles.
C’est Nerlov qui viendra prêter voix forte à ses potes de DA Pontcé. Le moustachu (dont Le Chabada a accompagné tous les projets depuis presque 20 ans) est probablement notre meilleur représentant d’une post-pop électronique qui ne manquera pas d’envahir le monde entier un jour ou l’autre… Mais en attendant, c’est seulement pour vous que cette rencontre inédite prendra forme.
Imaginez Acid Arab vs Altın Gün vs Rachid Taha. Imaginez une danse du ventre en plein cosmos. Bref, imaginez Alright Mela. Démarré en 2021 sur les cendres covidées de Markus & Shahzad, le duo (oud + machines) a rapidement intégré dans ses rangs le chanteur parisien Jaouad El Garouge (que vous retrouvez également chez les excellents Al-Qasar), donnant ainsi à leur dub-electroriental une touche à la fois plus rock, et plus traditionnelle. Deux ingrédients qui ont instantanément trouvé leur place dans le plat parfaitement épicé d’Alright Mela, dont les concerts finissent systématiquement dans une fournaise toute méditerranéenne. Croyez-nous sur parole, vous allez être surpris·es de voir de quoi vos hanches sont capables quand vous leur lâchez la bride !
Ennio est l’une de nos plus récentes découvertes. Venu de la région lyonnaise, le jeune rappeur est installé à Angers depuis peu mais son univers sombre et cinématographique, son flow inquiétant et les nombreux clins d’œil à ses origines italiennes (il rappe parfois dans la langue de Dante et ses morceaux contiennent des samples de musiques transalpines) lui ont immédiatement ouvert les portes de notre Équipe Espoir en 2024. Son dernier projet en date, « Salvatore », sorti au printemps dernier, a confirmé toutes les attentes qu’on projetait sur lui, nous sommes donc très impatient·es de partager ce nouveau coup de cœur avec vous.
Le Chabada suit le travail de Joanne O Joan depuis ses tout débuts. Il et elle ont en effet intégré notre Équipe Espoir en 2022, peu après la création du groupe, et terminent leur troisième et dernière année d’accompagnement avec nous. De titre en titre, JOJ a peu à peu affirmé sa personnalité. Le duo, désormais trio sur scène depuis l’adjonction d’un batteur, assume aujourd’hui pleinement son côté sombre, électronique et sensuel. Quelque part entre Billie Eilish, Lana Del Rey et Zaho de Sagazan, les chansons de Joanne O Joan dépeignent des personnages ou des paysages tout droit sortis de rêves étranges, qui deviennent vite ensorcelants lorsqu’ils prennent vie sur scène. Comme vous allez pouvoir vous en rendre compte par vous-mêmes ce soir.
Lui aussi a rejoint notre Équipe Espoir, en 2023. Il a beau éternellement avoir l’air de se réveiller, sa voix profonde trouble l’âme dès la première syllabe prononcée. Chahu est donc rapidement devenu incontournable dans la nouvelle scène angevine, écrivant des textes pour les un·es, des musiques pour les autres, posant un instrument là, une voix ici. Il rejoindra aujourd’hui ses ami·es de JOJ sur scène pour y chanter leurs morceaux communs, et ça va être beau.
Leur disque de platine trône fièrement au-dessus de la porte du bureau de notre programmateur pour remercier le Chabada de ses bons et loyaux services. C’est dire si les membres de PONY PONY RUN RUN n’ont jamais oublié d’où ils viennent. Avant de faire le tour du monde grâce à leur single « Hey You » en 2009, PPRR a en effet fait ses classes sur les bancs du rock angevin, découvrant ses classiques à l’adolescence dans les bacs du disquaire Black&Noir (où travaillait auparavant notre programmateur, CQFD). C’est donc avec un grand plaisir qu’on les retrouve pour ce trentième anniversaire. Leur electro-pop bubblegum, à la croisée des chemins de MGMT, d’ABBA et de Phoenix, a toujours eu le don de rassembler tout le monde sur la piste de danse dans une même euphorie et d’empêcher quiconque d’en partir… « Hey you! No, you don’t have to go-o-o ! »
Les PPRR ont caché un guest de luxe dans leurs flycases, qui lui aussi revient aux sources de ses origines angevines (son père jouait dans le mythique groupe de punk angevin Nana Bonnard au début des 80s). Georgio est déjà revenu plusieurs fois remplir Le Chabada avec son rap racé, on est donc doublement heureux de le retrouver pour cet anniversaire et surtout pour cette collaboration inédite !
Ils ont eux aussi fait partie de notre Équipe Espoir en 2022 et 2023. Mais, étonnamment, ils n’avaient pas encore pu jouer au Chabada. On n’allait surtout pas manquer l’occasion pour nos 30 ans. Comment vous expliquer la musique de Scuffles si vous n’avez pas déjà vécu ça de plein fouet sur scène ? Imaginez une piste de danse bondée où les Vulves Assassines, Métal Urbain, The Hives et Sexy Sushi vous entraîneraient dans un épique pogo, et vous ne serez pas si loin du compte. Scuffles, ce sont donc des refrains pop minimalistes à brailler en chœur, des giclées de guitares keupons intenables et des rafales de beats techno old-skool qui vous obligent à rester sur la piste jusqu’à votre dernier souffle. Vous êtes prévenu·es : prévoyez un t-shirt de rechange.
Tu connais pas Sheraf ? Bon, mais tu connais probablement Tucker. Le bonhomme fait tourner la guinguette En Rouge Et Loire aux Ponts de Cé, et il hantait auparavant de sa voix caverneuse les country songs de The Sheraf Brothers. Mais il y a plus longtemps encore, il faisait partie de Sheraf tout court, pur gang de garage psyché et goth-punk qui ne vivra que le temps de deux EPs appelés à devenir culte. Les deux Scuffles ont grandi en écoutant ces deux EPs, leur collaboration de ce soir promet donc d’être explosive !
Première fois au Chabada, probablement pas la dernière, Gisèle, fraîchement installée à Angers, a fait ses preuves à Paris ces 10 dernières années, aux platines des meilleurs lieux noctambules de la capitale (Bus Palladium, Bellevilloise, Ground Control…) et pour l’excellente web-radio Le Mellotron.com.Ses sélections piochent autant dans les musiques électroniques, le hip hop ou le rock psychédélique, peu importe le genre, pourvu qu’il y ait le groove.
Derrière ce nom étrange se cache un visage bien connu des mélomanes angevin·es. Il s’agit en effet de Jean-Yves Kerhornou (DJ Y K, vous l’avez ?), le patron de l’incontournable Joker’s Pub. Il était venu fêter les 10 ans du Joker’s chez nous, c’était donc normal de l’inviter à passer des disques à notre anniversaire… Et connaissant cet indécrottable fan de rock, vous devriez en prendre plein les esgourdes !
On connaît bien Qwerty alias Matthieu Bablée, le bassiste de Zenzile. Il faut dire qu’il est ici quasiment chez lui : Zenzile répète au Chabada, il y a joué plus d’une vingtaine de fois, ça fait donc bien 25 ans qu’on le pratique. Et pourtant ce n’est pas si facile de vous donner une idée de ce qu’il vous attend pour ce DJ set d’anniversaire. Le bonhomme est un tel fondu de musiques au pluriel qu’il peut tout aussi bien dégainer des classiques du post-punk que des raretés techno, des merveilles reggae ou des furies garage sixties. Une seule certitude, sa sélection sera aux petits oignons, et vous donnera envie de bouger votre popotin. C’est bien le principal !
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
ARNO GONZALEZ :
Dj, producteur, remixeur, Arno Gonzalez explore depuis plus de 20 ans une musique électronique dansante mais exigeante, sans renier la house et la techno des origines, s’aventurant parfois dans des contrées mélodiques proche de l’electronica.
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
CHIPIE :
CHIPIE est une DJ et une mini productrice fraîchement arrivée dans le label PAIN BENIT avec son titre Baile (ft. Ben Candel). À travers ses sets, CHIPIE prouve, encore une fois, que ce n’est pas la taille qui compte. Malgré son 1m60 les bras levés et le fait que vous n’aurez peut-être pas la chance de l’apercevoir derrière ses platines, une chose est sûre : sa Tech House aux sonorités latines ne vous laissera pas indifférent.
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
EDDY SCO :
Eddy Sco, une contraction d’Etienne Deveche Discothèque. Il a commencé à collectionner des vinyles en arrivant à Angers en 2013 Mélomane éclectique et festivalier curieux depuis son adolecence, il n’espérait pas devenir programmateur radio alors que c’est son métier depuis 9 ans à Radio Campus Angers. Cela lui a permis d’élargir ses découvertes et de réfléchir à sa vision émancipatrice de la musique. Il co-anime l’émission de radio Bounce & Dream chez qui l’on clame l’amour des musiques électroniques du passé et du futur. Côté Dj, c’est super éclectique et cela dépend du public et du lieu donc vous verrez lors de votre rencontre sur une piste de danse (ou pas) pour de nouvelles explorations sonores.
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
MBO :
Avec Vincent Oleg, Il est à la tête de l’association Bomb-X qui porte les «Domingo» et les «Modern», mais il est avant tout un passionné de musiques électroniques au sens large du terme. C’est aussi ton ancien disquaire préféré, toujours à la recherche du son qui provoque la joie; quand il est derrière les platines, il souffle le chaud et le froid, avec une efficacité redoutable et toujours avec le sourire !
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
MOONDINE :
Moondine explore la fusion de la musique ethnique et électronique sous toutes ses formes, refusant de se limiter à un seul style. Depuis ses débuts sur les plages des Philippines il y a 8 ans, elle a développé un univers sonore unique qui transporte au voyage, où les percussions, les mélodies envoûtantes et grooves en tout genre sont au cœur de chaque set.
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).
Au moins, il n’aura pas très loin pour aller chercher ses instruments. Vincent Erdeven est plus connu des Angevin·es comme le joueur de claviers de Zenzile, qui répète depuis toujours ou presque dans un des locaux du Chabada. Mais, depuis quelques années, Vincent distille également des compositions minimalistes et poétiques sous son patronyme en solo (qui a d’ailleurs connu depuis une mutation orchestrale qui jouera/a joué chez nos ami·es du Qu4tre le jeudi 26 sept), dans lesquelles il dévoile une facette beaucoup plus contemplative de sa musique. Quelque part entre néo-classique, folk spectral, electronica et musiques de film, Erdeven cherche ainsi l’équilibre entre introspection et élévation spirituelle. Il était par conséquent le candidat idéal pour nous bercer lors de cette sieste musicale, au milieu de ses guitares, claviers et machines.
Ça pique un peu après cette première soirée et cette nuit d’anniversaire ? Besoin de reprendre en douceur ? Eh oui, c’est vrai qu’on n’a plus vingt ans… Heureusement, on a pensé à tout. On a donc demandé à nos ami·es de Murmur de venir nous caresser les tympans avec leur ambiant-folk-jazz de grande classe pendant la pause-dej’. Le trio dessine en effet ses élégants paysages sonores à la manière des peintres impressionnistes, par petites touches, avec une grande exigence pour les textures, et une vision globale de la composition. Il suffit alors de se laisser porter doucement par ce Murmur enveloppant, comme un souffle léger qui régénère. Et il faudra bien ça !
Depuis 25 ans, on peut apercevoir à Angers un grand échalas taciturne et hirsute essayer de se planquer timidement derrière une basse, un micro, des guitares, et depuis peu même derrière un violoncelle, dans des tas de groupes aussi divers que variés : Zetlaskars et la Trompida, Earl, Hungart Thorsen, Hatebonz, Otto, Glass… et maintenant We’Ve Been There Before. Dans ce nouveau projet en solo, Guillaume Goubier ne peut pourtant plus guère se cacher. Il est tout seul avec les fantômes de Jeff Buckley, Vic Chesnutt ou Mark Lanegan pour dévoiler une indie-folk magnifiquement habitée, troublant peu à peu la frontière entre désespoir abyssal et sentiment de plénitude. De quoi vous amener en douceur vers la dernière partie de notre marathon d’anniversaire…
Il ne doit pas y avoir grand monde à Angers qui rappe depuis aussi longtemps que Guitz. Le MC a fait ses premières armes dans les 4V à la fin des 90s, puis a traversé la France de long en large avec les excellents Nouvel R pour aujourd’hui se démultiplier dans Badaam, Exop et MDK & Da French Touch. Sans oublier bien sûr son association L’R de Rien, avec qui Le Chabada travaille main dans la main depuis des années pour des projets d’action culturelle. Malgré son emploi du temps de ministre, il continue d’aimer relever les défis comme au premier jour, comme le prouvera cette étonnante collaboration avec We’Ve Been There Before.
Bloom. Un nouveau pseudonyme pour une voix et un visage que les Angevin·es connaissent bien. En près de trois décennies, Malika Nid El Mourid a en effet posé sa voix sensuelle dans de nombreuses formations rock (L. Zone Busta, Mashiro, Ghost in Saturn?, Echoløve, Silent Sisters…). Elle rejoindra We’Ve Been There Before sur scène pour un duo fort en émotions.
L’après-midi, on passera en mode kermesse des bénévoles du Chabada. Toute la famille s’y retrouvera avec divers stands pour petit·es et grand·es : playlist participative, séance de maquillage, crêpe party, chamboule-tout et tombola avec des super lots à la clé…
Notez aussi que toute la journée, enfin dès 10h et jusqu’à la fin des stocks disponibles, des centaines d’affiches accumulées derrières nos murs depuis 30 ans seront gracieusement à votre disposition. Repartez avec l’affiche de l’artiste ou du groupe que vous êtes venu·e voir dans votre salle préférée entre 1994 et aujourd’hui !
Dans cette folle course aux trente heures de musique, on avait besoin de lever un peu le pied. On vous propose donc un programme familial à la cool pour la journée de ce samedi. De 10h00 à 14h00, on commencera par filer carte blanche à nos copains·ines de l’association Oh ! Pop Pop qui animera en musique avec son crew de DJs tout-terrain un mini-marché avec stands de vente de disques, matériel hi-fi, instruments et autres trésors. De quoi chiner en chillant, ou l’inverse.
Franchement, on souhaite bonne chance aux gens qui vont devoir travailler sur les célébrations du centième anniversaire du Chabada en 2094, parce que d’ici-là, le dérèglement climatique risque d’avoir foutu un sacré beau bazar dans nos vies quotidiennes. Alors, pour limiter la casse, il faut sensibiliser les générations de demain au plus vite et au mieux. Ça tombe bien, Christophe Alline et Fred Bigot, le tandem du Petit Rayon Magique, ont un nouveau spectacle pour les spectateur·ices de moins d’un mètre vingt. Ça s’appelle Ton Ton Cli Ma, c’est drôle, universaliste, plein de poésie et jamais avare de bons conseils pour la survie en milieu hostile. Indispensable, donc.
Attention : pour manifester contre la surpopulation sur la planète, la jauge de ce concert est très limitée (80 places).
Attention, OVNI. Débarqué de nulle part, Gondhawa a immédiatement mis tout le monde d’accord. Après un premier album sorti sur un label anglais en 2021, le trio a donc intégré l’Équipe Espoir en 2022 et 2023. Les trois hommes ont également rapidement su s’imposer sur les affiches des meilleurs festivals comme notre Levitation bien sûr, mais aussi les très exigeantes Transmusicales de Rennes, décrochant même au passage une session-live pour la mythique radio de Seattle KEXP. Depuis, entre deux clips complètement déjantés en mode Michel Gondry, le trio se ballade partout en Europe pour implanter sa musique, qui doit autant au heavy rock psyché des Black Angels qu’au novö-traditionnel d’Altın Gün, tirant ainsi un trait d’union astral entre transe ancestrale et déflagration cosmique.
Ils et elle se sont rencontré·es lors d’une Chabada Sessions (surveillez nos réseaux sociaux cet hiver), ils et elle se retrouvent sur scène pour notre anniversaire. Les touche-à-tout Babette et Boochon (Des Lions Pour Des Lions, DA Pontcé) rejoindront en effet Gondhawa sur scène pour quelques titres ensemble. Et si vous connaissez les loustics, vous savez qu’il et elle sont capables d’incendier le moindre morceau en quelques secondes ! Si non, accrochez-vous bien à vos frocs !
Il était une fois au tournant des années 2000 un ado du Lac de Maine qui jouait des congas dans un groupe de potes, bientôt appelé Zetlaskars et la Trompida. Mais son rêve secret, c’était de toaster du raggamuffin en mode fast style, comme sur les cassettes qu’il bricolait dans son coin en enregistrant les parties les plus rapides de Raggasonic, Massilia Sound System ou Daddy Yod (qu’il avait vu au Chabada en 1995 alors qu’il était tout minot). Vingt ans plus tard, Tomawok a partagé la scène et gagné le respect de toutes ses idoles de jeunesse et bien plus, puisqu’il a enregistré plusieurs fois en Jamaïque avec les grands noms du reggae de là-bas. Il faut dire que vous n’entendrez pas beaucoup de gens capables de débiter des rimes aussi rapidement. Ces rafales de mitraillettes verbales sont généralement l’étincelle qui met le feu aux poudres d’une piste de danse. Démonstration ce soir, en mode DJ style avec le Turbulent Sound.
The Loire Valley Calypsos et Le Chabada, c’est déjà une longue histoire puisque le groupe faisait partie de notre Équipe Espoir en 2018 et 2019, et que leur excellent label-maison MaAuLa Records occupe des locaux à l’étage des studios Tostaky. À l’instar de Voyou, Flavien Berger ou Bonbon Vodou, The Loire Valley Calypsos fait partie de cette génération qui ose mélanger des influences anachroniques et/ou aux antipodes. Leur pop globetrotteuse peut donc piocher ici ou là dans le psychédélisme, les rythmes caribéens, le disco ou la chanson française pour colorer son propos. Peaufinant leur art sur les routes de France depuis bientôt dix ans, ces cinq dandys ont maintes fois prouvé qu’ils ne craignaient personne lorsqu’il s’agissait d’embarquer les danseurs et les danseuses dans une liesse collective et généralisée.
CJ Beth est également une de nos dernières découvertes en date. La jeune chanteuse/compositrice a démarré ce nouveau projet en 2022, et a logiquement intégré notre Équipe Espoir en 2024. Difficile, vous le concéderez, de ne pas être bouleversé·e par ce grain de voix si singulier, digne des plus grandes chanteuses de soul/blues/folk (on pense forcément à Amy Winehouse, Janis Joplin ou encore Karen Dalton). Alternant entre français, anglais et espagnol, CJ Beth invente une pop nourrie d’influences urbaines, trip hop, reggaeton et soul électronique. Ça sera son premier concert au Chabada (et une de ses premières scènes tout court), et nous sommes très fièr·es de vous la présenter. Réservez-lui le meilleur des accueils, elle le mérite !
Pour cette première au Chabada, CJ Beth a voulu se sentir entourée de ses proches, et la chanteuse a trouvé en Vengo un véritable frère de son. Le jeune rappeur peut lui aussi jouer avec sa voix de manière assez impressionnante, alternant sans difficulté chant poignant ou flow acrobatique.
En 30 ans d’existence, Le Chabada a accueilli plus de 4000 artistes. Certain·es sont des habitué·es, d’autres ne sont passé·es qu’une seule fois, mais ont marqué les esprits de manière définitive. Damily appartient à cette seconde catégorie. Le guitariste malgache, résidant en Anjou depuis quelques années, est venu chez nous en 2018 et ce fut un des concerts les plus marquants de la salle. Damily est un spécialiste du tsapiky (on ne prononce pas le « y » final en malgache). Cette musique rituelle est jouée à Madagascar lors de bals thérapeutiques à la demande de personnes souffrant de «bilo », notre dépression occidentale, pour les aider à transcender leur angoisses mortifères à travers la danse jusqu’à l’épuisement total. L’expérience est totalement hypnotique ! Et forcément, dès qu’il s’agit d’explorer de nouveaux mondes guitaristiques, Seb Martel n’est jamais bien loin. Originaire du Puy-Notre-Dame (dans le Saumurois), le guitariste que tout le monde s’arrache (-M- bien sûr, mais aussi Camille, Tony Allen, Salif Keita, Diam’s, Katerine, Charlotte Gainsbourg…) a une longue histoire avec le Chabada (il était par exemple déjà à l’affiche de nos 10 ans). Nous sommes donc doublement heureux·ses de découvrir cette scène partagée entre les deux hommes.
Comment fêter le trentième anniversaire du Chabada sans La Ruda ? Ils ont peu ou prou le même âge que nous (enfin, nous sommes plus jeunes, ça se voit !), et ils sont les recordmen absolus du nombre de concerts -probablement tous complets- de la salle. Ce sera en effet leur 24ème passage dans nos murs. Autant vous dire qu’on sait parfaitement comment ça va finir : une chaleur tropicale, des slams ininterrompus, des riffs de guitare au carré, des litres de sueur, des chorus de cuivre survitaminés, des refrains hurlés en chœur, des centaines de sourire collées sur les visages et une soudaine énergie collective qui donne l’impression de pouvoir déplacer des montagnes. Ça a été la recette d’un concert de La Ruda depuis 1993, du Québec jusqu’au Japon, et il n’y aucune raison pour que ça change aujourd’hui. « Ami·es d’Angers et d’ailleurs, ami·es du bruit et de la sueur… Voici (re)venir le grand orchestre de La Ruda Salskaaaa !! »
C’est le petit frère spirituel de La Ruda Salska, c’était donc évident de demander à Tomawok de rejoindre ses potes sur scène pour ambiancer quelques titres. Depuis 2007, le toaster le plus rapide de l’Ouest (et sans doute d’ailleurs) mène une carrière impeccable qui l’a vu collaborer avec les plus grands noms du reggae jamaïcain.
Né seulement au début de l’été 2022, Oda. intégrait notre Équipe Espoir dès 2023 et s’y est logiquement maintenu en 2024. Il faut dire que le duo fait preuve d’une maturité artistique que sa courte existence ne peut pas laisser deviner. Si vous aimez Cat Power, Bon Iver ou Cocteau Twins, vous devriez sans nul doute tomber sous le charme d’Oda.. La voix d’Anna vous saisit instantanément au vol, magnifiquement mise en valeur par les arrangements indie-folk électroniques de Théo. Tout est à sa place, tout est en harmonie. Cerise sur le gâteau (d’anniversaire), leur premier EP sort tout juste pour ce week-end festif des 30 ans et c’est un formidable cadeau. On est heureux·se de vous en faire profiter.
Pour franchir la ligne d’arrivée de ces 30 heures de musique non-stop, vous nous pardonnerez d’avoir privilégié la famille. Deux des trois DJs derrière les platines de ce dernier virage font en effet partie de l’équipe permanente du Chabada et la troisième est notre cuisinière adorée. Si vous venez régulièrement chez nous, vous avez donc très probablement déjà dansé au rythme des galettes endiablées des Red Pants ou de Kalcha. À tous·tes les trois, elles et il cumulent ainsi des centaines d’heures de dancefloor déchaîné où tous les coups(-bas) sont permis, de Billie Eilish à AC/DC, d’Aretha Franklin à Eminem ou de Daft Punk à La Compagn… à Beyoncé. Le plus compliqué risque donc surtout d’être de les empêcher de filer droit vers les 40 heures !!
Si vous aimez traîner du côté du Héron Carré, vous aurez comme un air de déjà-vu : Etienne, aka Red Strike, est en effet le programmateur de la célèbre guinguette angevine. Mais ses premiers amours, ce sont avant tout les musiques jamaïcaines dont il est un éminent spécialiste et qu’il met en avant depuis plus de 15 ans (radio, organisation de concerts, DJ …). Il ira donc piocher dans sa collection ses meilleurs morceaux, du roots le plus mystique au digital le plus moderne, pour vous faire skanker le poing levé !
On suit Sarah Nadifi depuis ses premiers pas dans le monde de la musique ou presque : son groupe de rock The Mirrors avait en effet intégré notre Équipe Espoir en 2018, puis on a suivi de près la création en 2019 de son agence de production et développement d’artistes Twin Vertigo qui gère aujourd’hui avec panache la carrière de plusieurs groupes internationaux (ainsi que celle des Angevin·es Michelle et Les Garçons). Et entre toutes ses activités, Sarah trouve toujours le temps de prendre soin des gambettes des danseur·euses sous le nom de Nadifiesta avec des mix où s’entrechoquent avec fracas classiques et coups de cœurs pop, rock et electro.
S’il y a un groupe qui symbolise la scène musicale angevine depuis ses débuts, c’est bien Lo’Jo. Le collectif existe depuis plus de 40 ans et a joué un peu partout sur la planète, des grandes scènes de New York au désert du Sahara. Ce soir, quelques jours à peine après la sortie de leur nouvel album, c’est Nadia Nid El Mourid, l’une de leurs deux emblématiques chanteuses, qui va représenter le groupe derrière les platines avec son mix du monde entier, mariant les pépites maloya aux classiques du blues du désert, ou la transe tzigane aux grooves du Maghreb. Et le tout avec un bilan carbone dérisoire !