Jours de Fête – 30 ans / 30 heures

27 & 28 septembre 2024

30 ans. 30 heures. Le calcul est simple !
Pour son week-end d’anniversaire, le Chabada ouvrira donc ses portes durant 30 heures sans interruption.
30 heures de musique de toutes esthétiques, et surtout 30 heures de groupes angevins !
Certains déjà (très) connus, et d’autres qui le seront bientôt. 

Nous avons en effet toujours eu la chance d’avoir à Angers une scène musicale foisonnante, riche et prolifique. Nous voulions donc la mettre à l’honneur en proposant une programmation exclusivement angevine : des groupes, des DJs, des invité·es, et pas mal de surprises…

On se retrouve à partir du vendredi 27 sept à 19h, et jusqu’au dimanche 29 sept à 2h du matin !

On vous en dit plus
Vendredi 27 septembre
Jours de Fête / 19h - 01h
Concerts & DJ sets

Carte Chabada 15€ // Prévente 20€ // Guichet 22€
PASS 30 HEURES : Carte Chabada 35€ // Prévente 40€ // Guichet 42€
Restauration sur place (foodtrucks)

Vendredi 27 septembre
Nuit de Fête / 01h-10h
DJ Sets, After et Petit-déjeuner

Carte Chabada 15€ // Prévente 20€ // Guichet 22€
PASS 30 HEURES : Carte Chabada 35€ // Prévente 40€ // Guichet 42€
Restauration sur place (foodtrucks)

Samedi 28 septembre
Jours de Fête / 10h-17h
Mini marché (disques, amplis, vêtements, accessoires, huîtres…), concerts, DJ sets, Playlist participative, animations

Gratuit, entrée libre
Restauration sur place (foodtrucks) : 11h-14h

Samedi 28 septembre
Jours de Fête - Sors Tes Mômes / 16h
Aux Studios Tostaky
À partir de 3 ans / durée 40 minutes

Tarif Unique 7€
PASS 30 HEURES* : Carte Chabada 35€ // Prévente 40€ // Guichet 42€
* places limitées pour les Pass – réservation obligatoire sur la billetterie de l’évènement

Samedi 28 septembre
Jours de Fête / 17h30-2h
Concerts, DJ sets & surprises

Carte Chabada 20€ // Prévente 25€ // Guichet 27€
PASS 30 HEURES : Carte Chabada 35€ // Prévente 40€ // Guichet 42€
Restauration sur place (foodtrucks)

Da Pontcé

Qui pour ouvrir le bal de ces 30 heures non-stop ? Imaginé au départ comme une récréation electropop et en solo de l’infatigable chanteuse/multi-instrumentiste Élisabeth Hérault, DA Pontcé a rapidement muté sous la forme d’un trio avec l’arrivée d’Alain « Boochon » Lardeux (multi-instrumentiste lui-aussi, avec lequel Babette joue déjà dans Des Lions Pour Des Lions) et du batteur Antoine David (qui officie chez les copains de The Loire Valley Calypsos). Sur scène, leurs pop-songs dadaïstes se musclent davantage et visent clairement les jambes des danseurs et des danseuses. Et vous pouvez faire confiance à leur longue expérience du métier -outre leurs autres groupes, chaque membre du trio a déjà été permanent·e ou invité·e chez Dirty Hands, Les Thugs, Lo’Jo, Zenzile, Cherry Plum, etc.)- pour téléporter la foule sur une piste de danse kaléidoscopique en plein milieu des étoiles.

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Alright Mela

Imaginez Acid Arab vs Altın Gün vs Rachid Taha. Imaginez une danse du ventre en plein cosmos. Bref, imaginez Alright Mela. Démarré en 2021 sur les cendres covidées de Markus & Shahzad, le duo (oud + machines) a rapidement intégré dans ses rangs le chanteur parisien Jaouad El Garouge (que vous retrouvez également chez les excellents Al-Qasar), donnant ainsi à leur dub-electroriental une touche à la fois plus rock, et plus traditionnelle. Deux ingrédients qui ont instantanément trouvé leur place dans le plat parfaitement épicé d’Alright Mela, dont les concerts finissent systématiquement dans une fournaise toute méditerranéenne. Croyez-nous sur parole, vous allez être surpris·es de voir de quoi vos hanches sont capables quand vous leur lâchez la bride !

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Ennio

Ennio est l’une de nos plus récentes découvertes. Venu de la région lyonnaise, le jeune rappeur est installé à Angers depuis peu mais son univers sombre et cinématographique, son flow inquiétant et les nombreux clins d’œil à ses origines italiennes (il rappe parfois dans la langue de Dante et ses morceaux contiennent des samples de musiques transalpines) lui ont immédiatement ouvert les portes de notre Équipe Espoir en 2024. Son dernier projet en date, « Salvatore », sorti au printemps dernier, a confirmé toutes les attentes qu’on projetait sur lui, nous sommes donc très impatient·es de partager ce nouveau coup de cœur avec vous.

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Joanne O Joan

Le Chabada suit le travail de Joanne O Joan depuis ses tout débuts. Il et elle ont en effet intégré notre Équipe Espoir en 2022, peu après la création du groupe, et terminent leur troisième et dernière année d’accompagnement avec nous. De titre en titre, JOJ a peu à peu affirmé sa personnalité. Le duo, désormais trio sur scène depuis l’adjonction d’un batteur, assume aujourd’hui pleinement son côté sombre, électronique et sensuel. Quelque part entre Billie Eilish, Lana Del Rey et Zaho de Sagazan, les chansons de Joanne O Joan dépeignent des personnages ou des paysages tout droit sortis de rêves étranges, qui deviennent vite ensorcelants lorsqu’ils prennent vie sur scène. Comme vous allez pouvoir vous en rendre compte par vous-mêmes ce soir.

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Pony Pony Run Run

Leur disque de platine trône fièrement au-dessus de la porte du bureau de notre programmateur pour remercier le Chabada de ses bons et loyaux services. C’est dire si les membres de PONY PONY RUN RUN n’ont jamais d’oublié d’où ils viennent. Avant de faire le tour du monde grâce à leur single « Hey You » en 2009, PPRR a en effet fait ses classes sur les bancs du rock angevin, découvrant ses classiques à l’adolescence dans les bacs du disquaire Black&Noir (où travaillait auparavant notre programmateur, CQFD). C’est donc avec un grand plaisir qu’on les retrouve pour ce trentième anniversaire. Leur electro-pop bubblegum, à la croisée des chemins de MGMT, d’ABBA et de Phoenix, a toujours eu le don de rassembler tout le monde sur la piste de danse dans une même euphorie et d’empêcher quiconque d’en partir… « Hey you! No, you don’t have to go-o-o ! »

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Scuffles

Ils ont eux aussi fait partie de notre Équipe Espoir en 2022 et 2023. Mais, étonnamment, ils n’avaient pas encore pu jouer au Chabada. On n’allait surtout pas manquer l’occasion pour nos 30 ans. Comment vous expliquer la musique de Scuffles si vous n’avez pas déjà vécu ça de plein fouet sur scène ? Imaginez une piste de danse bondée où les Vulves Assassines, Métal Urbain, The Hives et Sexy Sushi vous entraîneraient dans un épique pogo, et vous ne serez pas si loin du compte. Scuffles, ce sont donc des refrains pop minimalistes à brailler en chœur, des giclées de guitares keupons intenables et des rafales de beats techno old-skool qui vous obligent à rester sur la piste jusqu’à votre dernier souffle. Vous êtes prévenu·es : prévoyez un t-shirt de rechange.

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Rendez-vous en septembre pour découvrir les DJs

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Arno Gonzalez

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

ARNO GONZALEZ :

Dj, producteur, remixeur, Arno Gonzalez explore depuis plus de 20 ans une musique électronique dansante mais exigeante, sans renier la house et la techno des origines, s’aventurant parfois dans des contrées mélodiques proche de l’electronica.

Chipie

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

Eddy SCO

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

Lezguy

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

MBO

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

 

MBO :

Avec Vincent Oleg, Il est à la tête de l’association Bomb-X qui porte les «Domingo» et les «Modern», mais il est avant tout un passionné de musiques électroniques au sens large du terme. C’est aussi ton ancien disquaire préféré, toujours à la recherche du son qui provoque la joie; quand il est derrière les platines, il souffle le chaud et le froid, avec une efficacité redoutable et toujours avec le sourire !

Moondine

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

 

MOONDINE :

Moondine explore la fusion de la musique ethnique et électronique sous toutes ses formes, refusant de se limiter à un seul style. Depuis ses débuts sur les plages des Philippines il y a 8 ans, elle a développé un univers sonore unique qui transporte au voyage, où les percussions, les mélodies envoûtantes et grooves en tout genre sont au cœur de chaque set.

Vincent Oleg

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

Walt

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

Yvo

Quand Le Chabada a ouvert ses portes en 1994, le monde musical était en train de vivre une véritable révolution : des nouvelles sonorités, comme le hip hop, les musiques électroniques ou les musiques dites du monde, s’échappaient de leurs chapelles d’initié·es pour concurrencer le rock à guitare dans le cœur d’un large public. Dès lors, les musiques électroniques ont toujours trouvé une place de choix dans la programmation du Chabada, comme pourront en témoigner les milliers de danseurs et danseuses des soirées Modern/Domingo ou D3 depuis de nombreuses années. Nous avons donc demandé aux activistes de ces deux collectifs, aux manettes de ces fameuses soirées, de nous préparer une programmation 100% locale, de tout mettre dans un shaker, et de servir ça bien frais en mode clash de DJs à l’ancienne jusqu’au petit déjeuner (inclus).

Erdeven

Au moins, il n’aura pas très loin pour aller chercher ses instruments. Vincent Erdeven est plus connu des Angevin·es comme le joueur de claviers de Zenzile, qui répète depuis toujours ou presque dans un des locaux du Chabada. Mais, depuis quelques années, Vincent distille également des compositions minimalistes et poétiques sous son patronyme en solo (qui a d’ailleurs connu depuis une mutation orchestrale qui jouera/a joué chez nos ami·es du Qu4tre le jeudi 26 sept), dans lesquelles il dévoile une facette beaucoup plus contemplative de sa musique. Quelque part entre néo-classique, folk spectral, electronica et musiques de film, Erdeven cherche ainsi l’équilibre entre introspection et élévation spirituelle. Il était par conséquent le candidat idéal pour nous bercer lors de cette sieste musicale, au milieu de ses guitares, claviers et machines.

Murmur

Ça pique un peu après cette première soirée et cette nuit d’anniversaire ? Besoin de reprendre en douceur ? Eh oui, c’est vrai qu’on n’a plus vingt ans… Heureusement, on a pensé à tout. On a donc demandé à nos ami·es de Murmur de venir nous caresser les tympans avec leur ambiant-folk-jazz de grande classe pendant la pause-dej’. Le trio dessine en effet ses élégants paysages sonores à la manière des peintres impressionnistes, par petites touches, avec une grande exigence pour les textures, et une vision globale de la composition. Il suffit alors de se laisser porter doucement par ce Murmur enveloppant, comme un souffle léger qui régénère. Et il faudra bien ça !

We’ve Been There Before

Depuis 25 ans, on peut apercevoir à Angers un grand échalas taciturne et hirsute essayer de se planquer timidement derrière une basse, un micro, des guitares, et depuis peu même derrière un violoncelle, dans des tas de groupes aussi divers que variés : Zetlaskars et la Trompida, Earl, Hungart Thorsen, Hatebonz, Otto, Glass… et maintenant We’Ve Been There Before. Dans ce nouveau projet en solo, Guillaume Goubier ne peut pourtant plus guère se cacher. Il est tout seul avec les fantômes de Jeff Buckley, Vic Chesnutt ou Mark Lanegan pour dévoiler une indie-folk magnifiquement habitée, troublant peu à peu la frontière entre désespoir abyssal et sentiment de plénitude. De quoi vous amener en douceur vers la dernière partie de notre marathon d’anniversaire…

La Kermesse des bénévoles

Dans cette folle course aux trente heures de musique, on avait besoin de lever un peu le pied. On vous propose donc un programme familial à la cool pour la journée de ce samedi. Outre des concerts plus posés au fil de la journée (voir détails plus bas), l’association Oh Pop Pop tiendra un mini-marché le samedi matin avec stands de vente de disques, matériel hi-fi, instruments et autres trésors. De quoi chiner en chillant, ou l’inverse.

L’après-midi, on passera en mode kermesse des bénévoles du Chabada. Toute la famille s’y retrouvera avec divers stands pour petit·es et grand·es : playlist participative, séance de maquillage, crêpe party, chamboule-tout et tombola avec des super lots à la clé…

Notez aussi que toute la journée, enfin dès 10h et jusqu’à la fin des stocks disponibles, des centaines d’affiches accumulées derrières nos murs depuis 30 ans seront gracieusement à votre disposition. Repartez avec l’affiche de l’artiste ou du groupe que vous êtes venu·e voir dans votre salle préférée entre 1994 et aujourd’hui !

Ton Ton Cli Ma de Christophe Alline et Fred Bigot

Franchement, on souhaite bonne chance aux gens qui vont devoir travailler sur les célébrations du centième anniversaire du Chabada en 2094, parce que d’ici-là, le dérèglement climatique risque d’avoir foutu un sacré beau bazar dans nos vies quotidiennes. Alors, pour limiter la casse, il faut sensibiliser les générations de demain au plus vite et au mieux. Ça tombe bien, Christophe Alline et Fred Bigot, le tandem du Petit Rayon Magique, ont un nouveau spectacle pour les spectateur·ices de moins d’un mètre vingt. Ça s’appelle Ton Ton Cli Ma, c’est drôle, universaliste, plein de poésie et jamais avare de bons conseils pour la survie en milieu hostile. Indispensable, donc.

Attention : pour manifester contre la surpopulation sur la planète, la jauge de ce concert est très limitée (80 places).

Gondhawa

Attention, OVNI. Débarqué de nulle part, Gondhawa a immédiatement mis tout le monde d’accord. Après un premier album sorti sur un label anglais en 2021, le trio a donc intégré l’Équipe Espoir en 2022 et 2023. Les trois hommes ont également rapidement su s’imposer sur les affiches des meilleurs festivals comme notre Levitation bien sûr, mais aussi les très exigeantes Transmusicales de Rennes, décrochant même au passage une session-live pour la mythique radio de Seattle KEXP. Depuis, entre deux clips complètement déjantés en mode Michel Gondry, le trio se ballade partout en Europe pour implanter sa musique, qui doit autant au heavy rock psyché des Black Angels qu’au novö-traditionnel d’Altın Gün, tirant ainsi un trait d’union astral entre transe ancestrale et déflagration cosmique.

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Tomawok & The Turbulent Sound

Il était une fois au tournant des années 2000 un ado du Lac de Maine qui jouait des congas dans un groupe de potes, bientôt appelé Zetlaskars et la Trompida. Mais son rêve secret, c’était de toaster du raggamuffin en mode fast style, comme sur les cassettes qu’il bricolait dans son coin en enregistrant les parties les plus rapides de Raggasonic, Massilia Sound System ou Daddy Yod (qu’il avait vu au Chabada en 1995 alors qu’il était tout minot). Vingt ans plus tard, Tomawok a partagé la scène et gagné le respect de toutes ses idoles de jeunesse et bien plus, puisqu’il a enregistré plusieurs fois en Jamaïque avec les grands noms du reggae de là-bas. Il faut dire que vous n’entendrez pas beaucoup de gens capables de débiter des rimes aussi rapidement. Ces rafales de mitraillettes verbales sont généralement l’étincelle qui met le feu aux poudres d’une piste de danse. Démonstration ce soir, en mode DJ style avec le Turbulent Sound.

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The Loire Valley Calypsos

The Loire Valley Calypsos et Le Chabada, c’est déjà une longue histoire puisque le groupe faisait partie de notre Équipe Espoir en 2018 et 2019, et que leur excellent label-maison MaAuLa Records occupe des locaux à l’étage des studios Tostaky. À l’instar de Voyou, Flavien Berger ou Bonbon Vodou, The Loire Valley Calypsos fait partie de cette génération qui ose mélanger des influences anachroniques et/ou aux antipodes. Leur pop globetrotteuse peut donc piocher ici ou là dans le psychédélisme, les rythmes caribéens, le disco ou la chanson française pour colorer son propos. Peaufinant leur art sur les routes de France depuis bientôt dix ans, ces cinq dandys ont maintes fois prouvé qu’ils ne craignaient personne lorsqu’il s’agissait d’embarquer les danseurs et les danseuses dans une liesse collective et généralisée.

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CJ Beth

CJ Beth est également une de nos dernières découvertes en date. La jeune chanteuse/compositrice a démarré ce nouveau projet en 2022, et a logiquement intégré notre Équipe Espoir en 2024. Difficile, vous le concéderez, de ne pas être bouleversé·e par ce grain de voix si singulier, digne des plus grandes chanteuses de soul/blues/folk (on pense forcément à Amy Winehouse, Janis Joplin ou encore Karen Dalton). Alternant entre français, anglais et espagnol, CJ Beth invente une pop nourrie d’influences urbaines, trip hop, reggaeton et soul électronique. Ça sera son premier concert au Chabada (et une de ses premières scènes tout court), et nous sommes très fièr·es de vous la présenter. Réservez-lui le meilleur des accueils, elle le mérite !

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Damily

En 30 ans d’existence, Le Chabada a accueilli plus de 4000 artistes. Certain·es sont des habitué·es, d’autres ne sont passé·es qu’une seule fois, mais ont marqué les esprits de manière définitive. Damily appartient à cette seconde catégorie. Le guitariste malgache, résidant en Anjou depuis quelques années, est venu chez nous en 2018 et ce fut un des concerts les plus marquants de la salle. On n’avait probablement jamais approché la transe d’aussi près. Damily est en effet un spécialiste du tsapiky (on ne prononce pas le « y » final en malgache). Cette musique rituelle est jouée à Madagascar lors de bals thérapeutiques à la demande de personnes souffrant de «bilo », notre dépression occidentale, pour les aider à transcender leur angoisses mortifères à travers la danse jusqu’à l’épuisement total. On vous prévient, l’expérience est totalement hypnotique !

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

"Groupe Mystère"

Qui peut bien se cacher derrière ce fameux groupe mystère ? Vous le découvrirez le 8 septembre prochain. Tic tac tic tac tic tac…

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Oda.

Né seulement au début de l’été 2022, Oda. intégrait notre Équipe Espoir dès 2023 et s’y est logiquement maintenu en 2024. Il faut dire que le duo fait preuve d’une maturité artistique que sa courte existence ne peut pas laisser deviner. Si vous aimez Cat Power, Bon Iver ou Cocteau Twins, vous devriez sans nul doute tomber sous le charme d’Oda.. La voix d’Anna vous saisit instantanément au vol, magnifiquement mise en valeur par les arrangements indie-folk électroniques de Théo. Tout est à sa place, tout est en harmonie. Cerise sur le gâteau (d’anniversaire), leur premier EP sort tout juste pour ce week-end festif des 30 ans et c’est un formidable cadeau. On est heureux·se de vous en faire profiter.

Un·e invité·e surprise du groupe sera dévoilé·e en septembre !

Rendez-vous en septembre pour découvrir le nom des DJs

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